La nuit étendait son rideau sur la ville, dissimulant les contours des bâtiments marqué par un drap d’obscurité mouvante. Dans un famille exigu, perché au dernier étage d’un immeuble fatigué, Lazare observait le téléphone posé sur la table. Il n’était ni contemporain ni ancien, un souple machine aux touches effacées https://angeloturmh.p2blogs.com/32600863/l-onde-indiscernable-de-la-voyance-par-téléphone-audiotel-de-jolie-voyance