Callista resta de longues heures à ficher l’horizon, à l’affût du moindre frémissement un certain remous ou d’un écho lointain qui lui apporterait une réponse. Pourtant, la mer demeurait sur, silencieuse de façon identique à un ciel sans étoiles. Le chant des sirènes avait éteint, et avec lui, la seule https://robertk789sni5.ambien-blog.com/40281893/les-mer-immobiles