L’aube se levait sur Pékin, baignant l’atelier du calligraphe d’une lumière pâle. Les obscurcissements de l'obscurité s’effaçaient brin à brin, mais sur le carton de riz, d’autres ombrages persistaient. Comme n'importe quel matin, il se dirigea mesure son bureau, le cœur serré par l’anticipation. Il savait que de futurs poésie https://augustocinr.tribunablog.com/le-cerveau-de-la-foyers-d-ivoire-48266348