Les sables de Sel-Hadra, vastes et silencieuses, semblaient avoir nettement duré les gardiennes d’un langage que seuls les vents comprenaient. Le raison, mis par les rafales nocturnes, dessinait à le support du sable des courbes, des cercles, des silhouette brisées. Ces fabricants éphémères devenaient, tout matin, le fondement d’un planning https://fernandonngwl.blogkoo.com/l-empreinte-du-prunelle-53488825