Chaque soir, Liora ravivait le feu dans l’âtre circulaire en plein coeur de son manufacture. Elle y jetait les articles de cuivre en vacarme, laissant les désirs danser autour des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un accoutumance. C’était une souffle lente, une coutume née d’un geste traditionnel répété sans cesse. https://voyancegratuiteenligneimm00752.loginblogin.com/41601962/les-lignes-diminués