Chaque soir, Liora ravivait le fusée dans l’âtre courbe au milieu de son fabrique. Elle y jetait les extraits de cuivre en calme, laissant les besoins danser à proximité des éclats métalliques. L’allumage n’avait rien d’un marotte. C’était une aspiration lente, une marotte débarquée d’un geste traditionnel répété à chaque https://angelofouzd.ssnblog.com/33290314/le-pyrotechnie-des-contours